dimanche 6 juillet 2025

Le selfie du matin

Bonjour à toutes à tous !

Dans la série, "Une photo = un texte", je vous publie un tout récent, inspiré par la photo ci-dessous :


Le selfie du matin


Elle a pris un selfie, plutôt simple, assez suggestif. Elle n'avait pas besoin de rajouter d'artifices, ou d'en montrer davantage. Allongée sur le ventre, nue sur son lit, cela suffit amplement. Il ne restait plus qu'à prendre la photo avec un joli sourire et lui envoyer.

Elle sait qu'il appréciera cette délicate attention. Un réveil comme il les aime lorsqu'il n'est pas à ses côtés. Un petit cadeau pour lui égayer sa journée. Il aimera ses fesses rebondies, leur cambrure. Il sera hypnotisé par son regard plein de malice, avant de ne penser plus qu'à son joli postérieur.

Elle attend une réponse de sa part. Pas un simple mot, émoji, sexe en érection, ou facilité d'usage. Non. Elle espère une photo sensuelle. Qu'il se montre lui aussi nu, sans forcément tout dévoiler.

Une photo qui égayera sa journée à elle aussi. À lui de prouver l'amour qu'il lui porte et de lui montrer la chance qu'il a d'être avec elle...

Thalia

 

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dimanche 22 juin 2025

Faussement négligée

Bonjour à toutes à tous !

Dans la série, "Une photo = un texte", je vous publie un tout récent, inspiré par la photo ci-dessous :


Faussement négligée


Elle nous laisserait croire qu'elle fait montre de négligence en laissant la porte ouverte. Que négligemment, sa culotte n'est pas bien ajustée et ne couvre pas son sexe. Qu'elle néglige la pilosité de son sexe alors qu'au contraire, elle en fait son charme.

Son regard exprime bien le contraire. Elle sait ce qu'elle fait. De toute façon, elle est presque entièrement dévêtue. Le seul sous-vêtement qu'elle porte, ne cherche qu'à attiser l'attention des hommes, à attirer leurs regards et apporter l'envie de le lui retirer.

Elle ne serait pas contre que cet homme vienne attraper ce petit bout de tissu avec ses dents, pour lui enlever définitivement. Elle a du mal à paraître innocente avec ses couettes alors qu'elle affiche son désir d'une fellation. Elle aime avoir sa bouche remplie.

Quel homme résisterait à cette vision ? Elle sait que parmi ceux qui aiment les femmes, aucun ne le ferait. Il faudrait qu'il soit sot pour ne pas agir, réagir et fondre sur elle...

Thalia

 

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samedi 14 juin 2025

Entre elles

Bonjour à toutes à tous !

Dans la série, "Une photo = un texte", je vous publie un tout récent, inspiré par la photo ci-dessous


Entre elles


Un simple baiser au départ. Un baiser tendre, câlin, avant de s'enflammer. Avant de ressentir l'envie d'être davantage peau contre peau, les cuisses bien ouvertes. Se rapprocher au point de vouloir sentir le sexe de l'autre contre le sien. De se frotter, de ressentir le besoin de plus. D'être liées.

Les doigts ne suffiront pas, surtout pas durant ce baiser passionné où les mains ont besoin de caresser le visage de l'autre, de se toucher, d'effleurer un sein et peut-être même les deux. Et puis l'envie d'être connectées. D'être toutes deux "remplies" en quelque sorte. De remplacer le vide par un objet. Par un double gode, même si un des deux cotés est moins épais que l'autre. Mais ça suffira pour sentir ce lien pendant cet échange buccal avant de sentir la langue de l'autre dans un 69 torride...

Thalia

 

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dimanche 24 novembre 2024

Le désir

 Bonjour à toutes à tous !

Dans la série, "Une photo = un texte", je vous publie un tout récent, inspiré par la photo ci-dessous


Le désir


Le désir...

Elle se laisse aller au plaisir solitaire, à jouer seule comme elle sait si bien le faire, sans rien se refuser, sans culpabilité. Il ne peut y avoir de culpabilité dans le plaisir et elle le sait bien. Son mentor le lui a appris dans sa prime jeunesse. Elle connait toutes ses zones érogènes et ne compte pas en négliger une seule. Ses doigts explorent chaque parcelle de son corps, délicatement, intensément, les yeux fermés en imaginant qu'il s'agit de ceux d'un autre. Il serait doué. Ou elle serait douée...

L'important c'est de vibrer, de se sentir vivante. Une femme n'hésiterait pas plus qu'un homme à caresser son mont de vénus avant de glisser à son petit trou. Après tout, elle aime bien pénétrer cet orifice lorsqu'elle suce un homme alors pourquoi pas celui d'une femme...

Elle a des jouets pour s'occuper quand elle est seule. Elle aime les prendre dans la bouche, bien les humidifier, comme s'il s'agissait d'un véritable sexe entre ses lèvres. Le plaisir de la fellation n'a pas de limite et utiliser des jouets l'excite d'autant plus. Elle a l'impression d'être plus salope de s'amuser ainsi, de ne pas avoir de limite et c'est vrai. Elle mouille déjà beaucoup et ça lui plaît. Elle aime voir ses lèvres humides. Elle aime se caresser devant le miroir de sa chambre, face au lit. Ça l'électrise de plus en plus.

C'est étrange le plaisir ressenti de se voir lécher un sextoy, d'autant plus lorsqu'il s'agit d'un rosebud. Mais d'abord, sucer son doigt pour le rendre bien humide avant d'explorer son anus, de le pénétrer en profondeur, jusqu'à la jointure, tout en s'observant dans la glace. La bouche légèrement entrouverte par le plaisir ressenti. Elle est prête.

Elle attrape son plus beau bijou, le lèche quelque peu avant de le poser contre son anneau de chair et de l'enfoncer dans son trou serré. Le petit gémissement de satisfaction comme un soupir... De son autre main, elle touche la mouille qui colle à ses doigts. Elle aime les écarter de ses lèvres, voir les filaments s'étirer, fragile et qui prouve à quel point elle est excitée en cet instant.

Il ne manque plus qu'un amant, mais à la place, elle fera durer le plaisir...

Thalia

dimanche 13 octobre 2024

Comme une envie

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Dans la série, "Une photo = un texte", je vous publie un tout récent, inspiré par la photo ci-dessous :


Comme une envie


Elle avait envie de se faire baiser dans les escaliers façon chienne. Elle pensait ainsi. De façon crue. Il n'y avait pas besoin de mettre les formes. De toute façon, elle était nue. Elle ne voulait qu'une queue raide. Se faire attraper par les cheveux pendant la chevauchée.

Rien d'autre n'avait d'importance. Elle attendait son amant pour qu'il la prenne ardemment. Elle voulant que leurs corps claquent, que ce soit brutal, qu'elle couine de plaisir. L'intensité plus que la tendresse. L'ardeur plus que l'amour. Du sexe brulant. Du sexe cuisant.

Elle voulait être prise comme la dernière des traînées. Et elle l'aurait bien cherchée. Elle n'attendait que ça, à quatre pattes dans les escaliers...

Thalia

lundi 5 août 2024

Libérée

Bonjour à toutes à tous !

Dans la série, "Une photo = un texte", je vous publie un tout récent, inspiré par la photo ci-dessous :


Libérée


Elle ne saurait pas expliquer comment elle s'est retrouvée nue, les fesses posées sur l'herbe, ne portant plus que des chaussettes hautes de couleur blanche. Mais c'est ainsi. L'idée lui a traversé l'esprit et dans l'instant d'après, elle était assise ainsi.

La gêne est bien présente de ne plus porter de vêtements couvrant sa féminité. Mais elle considère que le frisson ressenti est celui de sa liberté. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'en cet instant, elle est plus elle-même qu'elle ne l'a jamais été. Plus en phase avec la nature.

Tout lui paraît si simple dans son simple appareil. Comme si les vêtements étaient un frein à ses réflexions en temps normal. Un point qu'il faudra qu'elle médite à l'avenir. Qu'elle expérimente isolée dans sa chambre dans un premier temps. Et pourquoi pas ensuite au milieu des bois, de flâner d'arbres en arbres, en ne portant que ses épaisses chaussettes hautes et blanches aux pieds, pour éviter de prendre une épine qui gâcherait son plaisir. Car de ça elle en était certaine. Elle prend du plaisir en ce moment.


Thalia

samedi 6 juillet 2024

Le temps d'une photo

 Bonjour à toutes à tous !

Dans la série, "Une photo = un texte", je vous publie un tout récent, inspiré par la photo ci-dessous :


Le temps d'une photo


Elle voulait profiter de cette journée en toute liberté. Garder seulement ses chaussures à cause du sol qui aurait abîmé ses pieds, ainsi que ses lunettes de soleil pour protéger ses yeux. Elle les portait négligemment sur sa tête pour le moment, n'ayant pas besoin de les porter sur son nez. Les cheveux coiffés en arrière, elle profitait pleinement de cette belle journée et de ce cadre pittoresque.

Elle s'approcha du canal, pour regarder l'eau et les façades qui lui faisaient face, avant de monter sur le parapet pour s'asseoir dessus. Son chéri lui avait demandé de le faire. Il trouvait qu'une photo d'elle assise serait mieux que debout et il n'avait pas tort. Il fallait qu'elle soit naturelle et invitante.

Elle choisit elle-même la position, tourné de trois quart, pas dos aux bâtiments. Elle préféra ne pas regarder l'objectif. Elle prit une posture qu'elle aurait si elle était habillée, avec une jambe recroqueville et l'autre avec le pied posé machinalement sur le rebord. Et les mains le long du corps, venant se rejoindre au centre sur le tibia.

Son chéri immortalisa l'instinct, savourant la chance de profiter de ce moment à jamais. Elle était son modèle. Dans ce cadre, il s'imaginait comme un air de Venise, rêvant de Renaissance et de peinture italienne plutôt osée pour l'époque. Quel beau tableau ç'aurait été...


Thalia