mardi 16 mai 2017

Valou, bientôt de retour !

En raison du concours gleeden organisé par chuchote-moi, j'ai mis entre parenthèses l'histoire de Valentine qui raconte sa vie privée sous forme de blog. Le sixième épisode de Valou pour vous servir, le journal d'une chienne - Partie 1 : Naissance d'une chienne sera publiée probablement le 20 mai au plus tôt.


Prochainement, je ferai un article parlant davantage de cette histoire. Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore, je vous invite à découvrir les cinq premières histoires. Lisez-les dans l'ordre, comme vous vous en doutez sûrement, cela a une importance puisqu'il s'agit de l'évolution d'une jeune femme au travers de sa sexualité.

Pour ceux qui attendent la suite avec impatience, l'épisode 6 ne vous décevra pas et l'épisode 7 sera probablement publiée dans la foulée. L'histoire continuera encore pendant quelques semaines avant la conclusion de la première partie.

Jusqu'à présent, j'ai eu très peu de retour sur les écrits de cette histoire. Je ne sais pas ce que vous en pensez, si cela plait ou non. J'ai l'impression d'avoir un nombre limité de lecteurs, diminuant à chaque parution mais peut-être que j'ai un mauvais ressenti.
Ce texte est un essai et j'ai besoin de vos avis pour savoir si je fais bien ou non. Je n'ai pas l'habitude d'écrire sous forme de blog et de raconter une histoire ainsi, surtout qu'elle est plus crue que le reste de mes écrits. J'espère avoir prochainement votre ressenti.
J'ai créé un premier sondage sur twitter (d'autres suivront) mais cela ne remplace pas les critiques constructives.

Je vous mets un très court extrait de ce qui vous attend dans la suite (surligner le texte pour le lire) :
— Alors comme ça t’es sans culotte !
Je savais que je l’excitais et je me doutais de pourquoi il m’avait emmenée à l’écart. Il voulait profiter davantage de cet instant en extérieur. Il s’approcha de moi et m’embrassa avec fougue. Dans ces moments là, je défaillais et il n’était pas rare que nous tournions sur nous-mêmes. Il s’adossa à un arbre. Ses mains remontaient ma robe, caressant mes cuisses, mes fesses. Je me laissais faire, profitant de ce torse à ma portée.

À bientôt,
Thalia

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire