samedi 25 avril 2020

Infos diverses sur la période de mai à septembre

Bonjour à toutes et à tous !

Je me suis montrée plutôt active en ce premier tiers de l'année en publiant trois nouvelles inédites sur Atramenta, la fin de l'histoire longue "La petite stagiaire" et le recueil payant de nouvelles érotiques "Histoires de coquines 2". Il est temps de faire un point sur ce qui vous attend pour les prochains mois.


Pour cet été, je prévois une autre publication payante mais je vais continuer d'alimenter Atramenta et mon blog de récrits en libre accès !

L'été dernier, j'avais annoncé un retour prochain de Valou, une de mes coquines délaissée depuis trois ans et dont les histoires n'étaient disponibles que sur Chuchote-moi. Depuis la fermeture de la plateforme, vous ne pouvez plus les lire. Actuellement, je travaille encore dessus sur une nouvelle version, plus littéraire et moins façon blog. Mais ça prend du temps et c'est pourquoi je ne l'ai toujours pas publiée. Dans une premier temps, je veux finir la réécriture avant de vous offrir la première partie en trois fois.

Au rayon des œuvres courtes, Elle reviendra dans une nouvelle histoire brève et plus courte que la précédente. Si ce n'est pas pendant l'été, ce sera avant 2021. Elle va continuer de se découvrir auprès de son mentor. En attendant, je vous invite à relire toutes ses histoires avec le mentor qui sont disponibles sur Atramenta (Une posture inattendue - Sans pudeur - La raison et la folie - Libre de ses envies).

De nouvelles coquines feront leur apparition dans deux nouvelles ainsi que le début d'une plus longue avec Lucie et Zoé et qui sera la suite des aventures de "Souvenirs d'été".

Thalia

mercredi 15 avril 2020

Histoire de coquines 2 : nouveau recueil de nouvelles érotiques !

Les coquines reviennent dans un nouveau recueil qui leur est consacré ! L'ebook est disponible chez Kobo et il contient quatre nouvelles.

/!\ Pour sa sortie, le livre est au prix de 0,99€ seulement ! Une offre à ne pas rater !


Dans ce recueil, trois coquines que vous avez découvertes soit dans "Histoires de coquines", soit dans "Les coquines en vacances" reviennent pour de nouvelles aventures dans deux des histoires ! Il s'agit du duo Lucie et Zoé ainsi que de Rose.

Le permis de conduire : Rose met une tenue sexy pour passer son permis et espère l'obtenir en usant de ses charmes s'il le faut...
Extrait :
— C’est cinquante en ville.
Encore ! Quelle gourde je peux être sous le stress ! En cherchant ma route, j’oublie de surveiller ma vitesse et cela fait deux fois. Ça va mal se terminer si ça continue. Je dois sortir une carte de ma manche, tant pis pour ma dignité. Je le veux ce permis !
Au feu rouge lorsqu'il passe au vert, une fois le démarrage effectué, je passe la deuxième en accrochant le bas de ma jupe qui se relève jusqu’à ce que mon string blanc soit visible, comme prévu. Le petit gémissement de plaisir de l’examinateur et son sourire pervers me font comprendre qu’il apprécie le spectacle.
Je joue alors les filles prudes et gênées en remettant aussi vite que possible ma jupe tout en balbutiant un pardon. Je lève ensuite les yeux vers le rétroviseur central et regarde mon moniteur inquiet, qui semble avoir chaud lui aussi.

Déchaînées : Après sa rupture avec son ex, Lucie a besoin de passer une soirée entre filles avec son amie Zoé. Les deux belles vont en boite de nuit et se laissent aller à leurs envies et leurs folies...
Extrait :
Zoé monte d’abord à la maison avant que nous partions toutes les deux. Elle a mis une petite robe noire bien moulante avec un dos nu. Elle ne porte pas de soutien-gorge et cela ne se voit pas forcément avec sa petite poitrine.
— J’espère au moins que t’as mis une culotte, lui dis-je amusée.
— Tu n’as qu’à vérifier, me répondit-elle avec désinvolture.
Je la sais capable de tout. Ce ne serait pas la première fois que nous sortions ensemble sans qu’elle ait de sous-vêtements. À une époque, elle aimait bien se balader ainsi, même à l’université. Elle revendiquait cette sorte de liberté et j’avais pensé qu’avec les années, elle aurait fini par se montrer plus rangée.
Je sais qu’elle n’a pas tant changé que ça, qu’elle est toujours cette extraordinaire amie, ce très bon coup. J’émets un pâle sourire en comprenant que tôt ou tard, il faudra que je lui fasse comprendre qu’elle doit laisser tomber Jérémy puisqu’elle n’est pas prête de changer pour lui.

Jamais sans mon chéri : Une femme soupire à l'idée de devoir attendre encore deux jours son chéri parti pour le travail. Le mauvais temps la rend mélancolique et elle décide de sortir pour se changer les idées. Inconsciemment, ses pas la conduisent à un club échangiste...
Extrait :
Cela ne fait pas cinq minutes que je suis au comptoir lorsqu’un homme s’approche pour m’aborder. Son visage est agréable à regarder. Il a aussi de grandes mains aux doigts fins. Cet inconnu serait-il pianiste ? Il est étonné que je sois seule et je lui explique le hasard de ma présence. Cela nous fait rire. Nous passons aux présentations où j’apprends qu’il s’appelle Laurent et qu’il n’est pas venu seul.
J’accepte de me joindre à leur table. Son ami Sébastien est différent de lui, plus petit, plutôt maigre et les cheveux très courts. Nous discutons un long moment où je leur apprends que j’ai un compagnon qui est en déplacement. Les deux me révèlent qu’ils sont des habitués de ce club et ils me proposent d’aller au spa.
Les rares fois où je suis venue avec Romain, nous n’y avons pas été. Je décline leur offre en m’excusant. Je m’attends à ce qu’ils s’en aillent mais au contraire, ils restent discuter avec moi. J’en viens alors à me confier sur mes précédentes visites dans ce lieu.

Délurée : Marion est une jeune femme qui ne s'occupe pas des conventions, ce qui lui joue parfois des tours pas si mauvais que ça...
Extrait :
J’arrive au fameux feu que je déteste le plus : celui qui dure le plus longtemps. Comme fait exprès, il passe au rouge à mon approche. Je pousse un soupir, regardant l’heure défiler et mon retard se confirmer. Je remarque sur le siège passager ma tenue pour ce soir. Je sais que j’ai suffisamment de temps pour la revêtir. Je n’hésite pas une seconde de plus, voulant profiter de ce temps perdu pour l’utiliser à bon escient.
Je retire mes ballerines, ensuite mon jean et ma culotte que je pose sur le siège passager. J’avais pris aussi un autre sous-vêtement. Au travail je porte ceux dans lesquels je suis le plus à l’aise alors que pour les soirées, on ne sait jamais qui on peut rencontrer et comment ça va se terminer. J’attrape la culotte brésilienne qui va rehausser mes fesses, avec un voile transparent devant qui ne cachera rien de ma fente.
Je ne me soucie pas de ce qui se passe autour de moi, pensant surtout que personne ne peut rien voir pour le moment. Je vérifie le feu tout en dégrafant mon soutien-gorge et ce n’est pas évident en gardant le débardeur et la ceinture de sécurité ! J’arrive à le retirer avant de devoir reprendre le volant. Cette opération a pris plus de temps que prévu...

J'espère que ce deuxième recueil vous plaira. Bonne lecture !

Bonne lecture !
Thalia

samedi 11 avril 2020

Et si on jouait toi et moi...

Et si on jouait toi et moi...


(NB : Cette photo pourrait aussi illustrer ma nouvelle "Soirée foot" sur Atramenta mais j'ai découvert celle-ci que récemment.)

"Coquine", "effrontée", "absolument divine", ces mots délicats prononcés par mon chéri lorsque je lui ai proposé dans cette tenue de venir faire une partie de foot dans le jardin. Aucun mot, ni geste obscène. Dans ce merveilleux tableau, ça aurait fait tâche. La fausse note, le mauvais goût. Il s'en est abstenu, m'observant à loisir avec son sexe moulé par son jogging collé au corps.
J'ouvre à peine plus grand mon haut de survêtement. Il voit davantage mon petit sein poindre et devine la courbe du deuxième. Avec mon petit sourire enjôleur, je l'aguiche davantage. Il est de moins en moins intéressé par le ballon que je tiens dans ma main droite. Il en est sûrement à se demander si je porte une culotte sous le bas. Je le laisse à cette réflexion, préférant laisser encore quelque temps ce secret pour moi.
Je pourrais laisser tomber la balle. Me pencher ensuite pour la ramasser, en dévoilant ma poitrine. Je pourrais faire en sorte que le ballon aille dans mon dos. Que je sois obligée de me retourner. De me pencher de nouveau. De faire en sorte que le bas du survêtement glisse suffisamment pour dévoiler le haut de la raie de mes fesses, tout en entretenant le suspense de savoir si j'ai un sous-vêtement ou non.
À son attitude, je sens que je le rends fou. Jouer au football ne l'intéresse plus. Il aurait plutôt envie de devenir en cet instant un rugbyman et de me plaquer au sol. Je n'aurais rien contre me retrouver contre le sol recouvert de feuilles, de sentir mon survêtement glisser et de m'amuser avec sa virilité gonflée par le désir...

Et vous, qu'est-ce que cette photo ou ce texte, ou les deux à la fois, vous inspire ?

Thalia