dimanche 4 avril 2021

Les petites confessions de Mathilde

La sulfureuse Mathilde revient pour se confesser dans un nouveau recueil d'histoires inédites disponible chez Kobo ! Cet ebook contient cinq nouveaux récits et un petit bonus.

/!\ Comme souvent lors de la sortie d'une nouvelle œuvre, le prix est fixé à 0,99€ seulement alors profitez-en !


Après Les Petits Secrets de Mathilde et Les Petites Confidences de Mathilde, la belle brune retrouve par hasard M. Berthelot, l'ancien voisin pervers de ses parents. Alors qu'elle pensait cette relation terminée, elle sent frémir dans son bas-ventre le désir de prolonger à nouveau l'expérience avec lui.

Bien plus assumée, plus sûre d'elle, la coquine compte bien aller jusqu'au bout de cette étrange relation pour passer ensuite à autre chose. Mais M. Berthelot sera-t-il se montrer à la hauteur ? Ne risque-t-elle pas au final d'être déçue ? A-t-elle encore vraiment besoin de lui pour se découvrir et s'assumer alors qu'elle sait à quel point il peut être néfaste ?

Ce nouveau recueil boucle la trilogie avec M. Berthelot. Après celui-ci, Mathilde reviendra dans d'autres histoires mais le voisin pervers ne sera plus présent désormais.

Les cendres du désir : Mathilde rencontre par hasard M. Berthelot. Bien malgré elle, elle ressent encore une envie de prolonger cette étrange relation et accepte de le revoir. Tant qu'il y aura l'étincelle, elle est prêt à accepter de laisser le désir la consumer...
M. Berthelot ramasse mes vêtements et me les tend. Je le regarde d'un air surpris tandis qu'il affiche un air amusé.
— Allons Mathilde, je ne suis pas un plan cul.
Je récupère mes affaires avec contrariété, constatant l'état de mon débardeur et vérifiant celui de mon legging.
— Tu ne peux pas m'envoyer un message à la dernière minute pour venir chez moi sans m'avoir excité auparavant. Ça ne marche pas comme ça entre nous.
Vexée, je me rhabille sans répondre, n'appréciant pas cette tournure où je reste sur ma faim. Je mets ma veste à la place de mon haut et je me dirige vers la sortie sans rien ajouter. Lui non plus ne dit rien d'autre. Il me laisse partir, la mine ravie, sans une once d'inquiétude. Je me retiens de claquer la porte et je retourne chez moi plus tendue qu'en arrivant chez lui.

En folie : Leur relation prend une tournure différente. Son ancien voisin pervers profite de la situation, une fois de plus. Avec la hausse des températures, la belle s'enflamme et accepte l'idée courir et de s'exhiber en extérieur avec le risque de perdre le contrôle...
Je me laisse prendre au jeu, faisant un nouveau tour pour le retrouver au même endroit mais cette fois-ci, le sexe à l'air. Je m'arrête au lieu de continuer, regardant les alentours. Je comprends qu'il connaît bien ce coin et qu'il s'y sent suffisamment en sécurité pour oser le faire. Il se redresse et vient me caresser les fesses.
— Ça te motive pour continuer ?
En fait pas vraiment. J'aurais plutôt le souhait d'arrêter mais l'idée de l'exciter davantage me plaît. Voyons voir ce que ça peut donner... Et je repars faire un petit tour. Sur le chemin, je n'ai qu'une hâte, en voir plus et je ne suis pas déçue. Il a baissé son pantalon ainsi que son slip jusqu’à ses chevilles. Sa main est posée sur son sexe érigé.
En continuant, j'ai envie de me montrer plus coquine. Je m'arrête un peu plus loin pour retirer ma brassière. Je reprends ma course.

Le passager du bus : M. Berthelot vient parfois la rejoindre à la sortie de son travail pour prendre le bus ensemble. Il souhaite surtout s'amuser avec elle et la voir oser prendre le risque de ne révéler qu'à lui son intimité dénudé sous la jupe. Il y a toujours le risque de se faire surprendre, mais cela fait partie aussi du plaisir...
En me tournant, je vois peu de passagers, l'occasion propice pour pouvoir continuer à dévoiler ce qu'il y a sous ma robe. Malheureusement je porte une culotte...
Le regard du voisin pervers se fait insistant. Mes yeux s'attardent sur sa bosse à peine dissimulée qui exprime pleinement le désir d'en voir plus. Je relève le volant de ma tenue, puis j'écarte le tissu afin de montrer mon sexe. Le sien fait un soubresaut dans le pantalon, ce qui m'excite davantage. Je sais que même s'il y a peu de monde, il faut que j'évite qu'on nous remarque. Pourtant, l'envie de lui dévoiler encore ma vulve résonne dans ma tête.
Lentement, sans geste brusque et en prenant le temps, je retire ma culotte jusqu'au-dessus des genoux. Je tourne ensuite mes jambes vers la fenêtre et d'un mouvement de la main, je la fais glisser le long de mes mollets jusqu'au sol.

Hors de contrôle : Mathilde retourne dans son ancienne université à Paris dans l'optique de reprendre ses études. Son ancien voisin pervers l'attend à la gare pour rentrer avec elle en train. Celui-ci est bondé. Ils se retrouvent avec une autre étudiante, un jeune homme et un quadragénaire qui préfère lire plutôt que de s'intéresser à eux. La belle brune ne se montrera pas sage...
J'ai l'impression qu'elle a envie que j'aille plus loin. Tout comme M. Berthelot. Il ne fait pas attention que son érection est en train de tâcher le pantalon, créant une auréole d'humidité. La demoiselle assise de son côté, l’a remarquée avec un petit sourire en coin gêné lorsque nos regards se sont croisés, juste après avoir posé ses yeux dessus. C'est comme si elle me disait « t'oseras pas », qu'elle me défiait. Alors que dans celui de l'homme en face de moi, il a envie que j'aille plus loin.
Délicatement, j’entrouvre mon haut avec un petit sourire espiègle. L'étudiante se tortille sur son siège. Je l'excite. Elle mouille la coquine. Peut-être qu'elle aimerait oser en faire autant mais avec son jean et son top, ça s'avère plus compliqué. Le lecteur continue de m'ignorer et de rester plongé dans sa lecture. Je regarde discrètement le jeune homme. Il s'intéresse surtout à l'étudiante. Je m'aperçois qu'il a une main cachée par sa veste en jean mais je comprends qu'elle est glissée dans le pantalon. Il se masturbe sûrement en la matant sans se douter de ce que je fais et sans que la demoiselle s'aperçoive de son attitude.

Soirée privée : Tous les jours, lors de la pause déjeuner qu'elle prend au parc, un couple coquin pratique discrètement l'exhibition. Elle le remarque avec un autre jeune homme assis sur un autre banc. Les deux amoureux finissent par les inviter à passer une soirée avec eux. La sulfureuse Mathilde compte bien en profiter sans la présence de M. Berthelot...
Le jour suivant, je reprends ma place habituelle et le couple ne tarde pas à arriver.
— Bonjour. Belle journée ! Me lance la blonde.
Son mari, car je vois sur sa main gauche une alliance tandis que la droite est posée sur les fesses de sa femme, me sourit. Ils ont l'air ravi de me revoir. Peut-être craignait-il que je ne revienne pas par rapport à ce qui s'était passé la veille ? Leur petit jeu m'excite et me rend curieuse. Dorénavant, je trouve que c'est d'autant plus plaisant de venir manger ici. C'est toujours ennuyeux d'être seule au moment du repas. Et même si nous n'échangeons pas beaucoup, j'ai l'impression que tous les quatre, nous sommes assez complices car même le jeune homme brun finit par me dire bonjour.
Aujourd'hui, elle montre à nouveau qu'elle n'a pas de culotte, le même subterfuge, rien de plus, mis à part un décolleté plus plongeant peut-être. Lorsque je me lève pour jeter mes déchets à la poubelle, elle fait de même afin de s'approcher de moi. Je lui souris sans mot dire mais je comprends à son attitude qu'elle souhaite me parler.
— Je suis certaine que toi aussi tu aimes un peu t'exhiber.
Elle me fait un clin d’œil avant de s'en aller après m'avoir souhaité un bon après-midi. Ses paroles ne me laissent pas de marbre.

J'espère que ce nouveau recueil saura vous séduire comme les deux précédents.

Bonne lecture !
Thalia

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