lundi 14 juillet 2025

Ode à l'été - Partie 1 : Le Voyage

Bonjour à tous,

J'ouvre une nouvelle section dans mon blog : Les Divagations. Ce seront des écrits sur mes histoires ou mes inspirations. En cette période estivale, j'ouvre les hostilités avec "Ode à l'été". 

 

Ode à l'été

Le voyage

Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage. (Joachim du Bellay)

Comme je l'ai déjà écrit sur les réseaux sociaux, le voyage tient une place importante dans mes écrits, surtout l'été. Depuis mon enfance, je me considérais en vacances l'été que lorsque j'avais voyagé pour arriver à une destination. Chez mes parents, c'était l'attente du départ, même si cela prenait des jours, voir près de deux semaines.

Dans mon écriture, les trajets jusqu'à destination ont souvent une place importante. Surtout le train. Même en dehors de la période estivale. Je ne peux nier la fascination pour ce moyen de locomotion et des multiples opportunités qu'il offre.


Le train a fasciné et fascine encore beaucoup d'auteurs érotiques. Je me rappelle d'une bande dessinée se passant à bord de L'Orient Express. Plus que l'histoire, je me souviens du décor dans chaque case, du souci du détail et de la variété offerte par ce lieu. Cela reste un champ des possibles à l'infini. Sans oublier les histoires d'Emilie J, Sonia Traumsen et bien d'autres...

Ce moyen de transport permet aussi aux personnages d'être libre, de ne pas avoir à se concentrer sur la route, ce qui n'est pas le cas de la voiture. Même si rien n'empêche d'émoustiller le trajet, il faut reconnaître qu'une fois dans le véhicule en marche, mis à part des caresses, avec ou sans pénétration, à la limite une fellation au conducteur (ce qui n'est pas conseillé), les possibilités restent limitées.


Bien sûr, au-delà des caresses, sur le trajet les coquines peuvent s'arrêter à une aire d'autoroute et cela offre aussi de nouvelles possibilités pour pimenter les choses. Bien souvent, pour la voiture le voyage me sert à faire monter la température dans le récit. Et même parfois, à être le point culminant d'une nouvelle érotique.


Il reste l'avion et le car. Ces moyens de locomotion qui offrent une promiscuité qui décuplent certains fantasmes. Difficile de s'amuser sans se faire repérer, surtout pour l'avion avec les hôtesses de l'air qui circulent à bord. Jusqu'à présent, j'ai écrit peu sur les deux. Si le car permet de pouvoir s'amuser véritablement, dans l'imaginaire ou non, l'avion me semble plus rigide. Un peu d'exhib, oui. Plutôt sage, même. Du sexe à bord, je l'imagine surtout aux toilettes. Je pense que cet espace confiné joue sur ma liberté d'écriture.
 
Il y a aussi le bateau. Celui de plaisance peut faire une belle histoire torride, à n'en pas douter. En revanche, les croisières... Faire l'amour dans une cabine, c'est un peu comme le faire dans une chambre d'hôtel. C'est pas notre lit, mais une fois la porte fermée, il n'y a pas de frisson. Je ne dis pas qu'un jour je n'écrirai pas sur des vacances à bord, que je me montrerai osée, avec de l'exhibition, des jeux coquins et des inconnus, mais c'est différent du train...
 

Le train permet de circuler à bord plus facilement que dans un avion, ou même d'un car. Il peut y avoir des compartiments ou non. Le risque est plus élevé pour des jeux coquins si le wagon n'en possède pas. Après, cela va dépendre du nombre de voyageurs à bord. L'avantage, c'est qu'il n'est jamais fixe. L'avantage du compartiment, c'est qu'il permet de pouvoir se montrer plus osée. Souvent, mes coquines se sentent plus en confiance. À la différence d'une cabine de bateau, le compartiment offre une intimité relative. D'autres voyageurs peuvent arriver et beaucoup passent devant la porte vitrée sans rideau, marchant dans le couloir.
 
Le voyage est rythmé par les arrêts. Les différentes gares sur le trajet. Des passagers qui montent et descendent. Qui permettent d'oser plus ou non. C'est ce que j'apprécie le plus dans l'écriture. C'est cette incertitude que je peux décrire dans comment le vivent mes différentes coquines.
 

Plus le trajet est long, plus l'excitation augmente si elle est savamment titillée. Les barrières cèdent. L'envie d'oser et de se sentir libre. Le compartiment permet plus de coquineries.
 

Je vous ai mis une dernière photo de cette jolie femme. J'aime bien ces clichés. Elle est comme mes coquines, très osée. Elle me fait penser parfois à Valou, pas que pour le côté blonde, mais pour le côté assumé. Je ne vois pas Mathilde poser ainsi sur la dernière image, face à Henri, aussi souriante, décontractée. Dans "Intéressant voyage", la belle découvre le plaisir de se montrer à un inconnu, mais il y a de la tension. Son visage serait plus concentré, plus soumis à la découverte de ce plaisir qu'elle aurait cru interdit.
 
L'intimité relative de ce compartiment a permis à cette jeune femme, qui fait un beau voyage, de se lâcher totalement. Jean descendu jusqu'aux chevilles, croupe tendue, que lui réserve l'avenir ? Je n'en ai pas la preuve en images, mais j'imagine bien des choses. J'ai écrit bien des choses d'ailleurs, mais avant d'avoir mis la main sur ces photos !
 
Bref, il est temps de refermer cette première ode à l'été, sur le voyage. Je vous laisse à vos songes, à vos souvenirs coquins passés lors de vos trajets et peut-être à vos fantasmes...
 
À bientôt pour une nouvelle divagation !
Thalia 

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