Bonjour à toutes à tous !
Tout d'abord, pour ceux qui ne seraient pas encore au courant que j'ai un nouveau site, je vous souhaite une bonne et heureuse année 2024 !
Et du coup, voici le lien pour mon site officiel !
Désormais, c'est sur ce site que vous pourrez suivre mon actualité et où je publierai régulièrement de nouveaux articles. En attendant, celui-ci me servira pour poster uniquement les fameux "une photo = un texte".
Sur la cuvette
Elle était là, assise sur la cuvette rabattue des toilettes, complètement nue. Elle voulait profiter de ce moment qu'à elle, dans cet espace réduit, en toute intimité, même si c'était celui de son lieu de travail. Elle était libre d'être elle, sans artifices et sans gêne.
Elle était au naturel. Dans son plus simple apparat. Elle aimait la pilosité de son pubis et ne voulait l'enlever pour rien au monde. Elle trouvait que ça faisait joli, soyeux et pas du tout sale. Ça lui donnait un côté passage interdit, toison inexplorée de délices cachés.
Elle en était fière de ces poils. Elle aimait les caresser, passer ses doigts à travers, glisser lentement vers son sexe. Malgré toutes ses années, ça lui faisait toujours autant d'effet. Et d'autant plus dans des toilettes qui n'étaient pas les siennes. C'était plus excitant.
Elle avait commencé par le faire chez ses parents, puis chez des amis, sans qu'ils ne se doutent de rien. C'était un petit jeu au départ, depuis une envie irrépressible. Si les toilettes n'étaient pas trop sales, elle pouvait le faire dans n'importe quel lieu public.
Les bars étaient ses favoris. Elle se souvenait de la première fois qu'elle avait osé. Une fin d'après-midi où elle avait bu avec des copines. Elle s'était laissée emportée au désir d'une photo pour la publier sur Twitter avec le fameux #toilettesdebar. Par simple jeu...
Et pourtant, ça s'est transformé en plus que ça. Le désir d'être nue avait été plus fort. Elle s'était caressée et s'était donnée du plaisir rapidement. Bien trop rapidement...
Depuis, elle prenait plus de temps. Elle adorait pouvoir s'asseoir sur la cuvette, lunette rabattue.
Elle voulait profiter davantage de ce temps qui n'appartenait qu'à elle. Ce délice d'être nue, assise naturellement, de parcourir sa fente du bout des doigts, de caresser ses lèvres, son clitoris jusqu'à l'envie d'explorer son antre en insérant son majeur.
Thalia